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La vie...

Stop pervenche !

Les temps sont difficiles, la crise est (toujours là), la solidarité devient une nécessité. Quand les temps sont durs, il faut savoir serrer les coudes, être corporate comme on dit… Dans la série, il n'y a pas de petites économies, votre Lady Penny a décidé de trouver des solutions (enfin là une seule mais pas n'importe laquelle lol) et de la par-ta-ger ! Devant les tarifs élyséens des horodateurs, force est de constater que rares sont celles et ceux qui disposent de la monnaie pour s'acquitter du racket de la redevance de parking urbain. (Certains de ces bandits manchots disposent même d'un terminal CB !). L'effet quasi immédiat de la résistance active étant de voir fleurir un papillon sur le pare brise… Dieu merci, mon iPhone (aussi appelé "prothèse" par ma propre mère… pfff) ne me quitte pas, surtout depuis la découverte du génialissime STOP PERVENCHE.

  

Kézako ? Une application gratuite qui regroupe la communauté des victimes de la prune automobile intensive. Comment ça marche ? : je repère une sympathique contractuelle qui semble apprécier vivement mon véhicule. Devant son empressement, je m'empresse de signaler sa présence aux joyeux camarades garés près de ma voiture. J'ai toujours dit qu'il faut saluer le travail bien fait alors autant communiquer sur l'enthousiasme d'une préposée über zélée.
A vos marques, prêts, téléchargez !

La vie...

My 100 Things Challenge, ou pas…

Ca y est, les vacances sont finies et l’été indien ne semblant pas s’annoncer, il est déjà temps de ranger crèmes solaires, tongs, paréos, maillots de bain et autres attributs estivaux. A la vue des quelques mètres cubes de fourbi qu’il s’agit de remiser pour l’hiver, je m’interroge quant au projet de David Bruno, un tranquille père de famille californien. Depuis novembre 2008, il a entrepris (ainsi que de nombreux «100 things challengers») de sélectionner 100 objets rigoureusement indispensables et de se débarrasser du superflu. Que tout le monde se rassure, il n’est pas encore question d’une ascèse radicale et encore moins de vivre dans un tonneau comme l’ami Diogène en son temps. Les règles sont précises : on ne compte pas les objets qui appartiennent à toute la famille et qui sont utiles à la collectivité, seuls sont concernés les objets strictement personnels. L’effet de crise renforce évidemment le caractère intéressant de l’entreprise.

Je me demande depuis quelques jours quelle serait ma liste des 100 incontournables. Histoire de trouver l’inspiration, et surtout de ne pas éliminer un objet que je viendrais à regretter vite fait, je suis attentivement les listes rédigées par certains participants. iPhone, iPad et autres MacBook arrivent bien souvent en tête. Comme quoi on a beau tenter le dénuement, on ne revient pas au Moyen Age pour autant…

Je suis donc partagée entre renoncer à mes 47 paires de chaussures (quoiqu’elles ne compteraient que pour une unité chacune) et transformer le dressing en poulailler d’intérieur et produire mes propres oeufs intra muros, vendre la grenouille qui me sert de voiture et la remplacer par un vélo ce qui aura le double bénéfice de préserver la planète + favoriser ma pratique (jusqu’ici inexistante ou presque) du sport, tenir une comptabilité stricte des 100 objets que je souhaite par dessus conserver et avoir la sensation de m’inscrire dans un projet « responsable ».

Pourquoi ne pas se lancer mais sans oublier que Voltaire, dans le Mondain, rappelait que « Le superflu (est) une chose très nécessaire« . Un « petit superflu » est ainsi toléré pour le bien de tous !

Tendances

Hipstamatic pour les vacances

Ca y est (presque). L’heure est (quasi) arrivée de finaliser le paquetage direction mer, plage, méduses (euh non si possible…). Comme toujours il y aura beaucoup trop de bagages : les minis moi étant redoutables quant au volume de fourbi à faible utilité ajoutée qu’il convient de transporter en vacances. Ne demandez pas de qui elles tiennent, j’assume. Quelques vêtements et paires de chaussures, quelques livres, quelques crémouilles anti-âge/coups de soleil/dessèchement : bref le minimum vital en quelques mètres cubes. Il y a peu je baladais mon appareil photo, un compact numérique aussi efficace que facile à emporter partout avec soi. Une chute malencontreuse ayant eu raison de son écran à cristaux liquides, il a fallu renoncer à notre divine idylle comme dirait Vanessa.

Cherchant une solution de remplacement, je suis tombée récemment sur l’application Hipstamatic. Vendue pour la somme élyséenne de 1,59€ sur l’Appstore, celle ci permet la réalisation de clichés aux rendus aussi divers que variés. Mon iPhone ne s’éloignant jamais bien loin de moi (à moins que ce ne soit le contraire), un téléchargement plus loin, l’affaire était conclue, si ce n’est dans le sac. Quelques esprits chagrins me feront à juste titre remarquer que cette petite merveille n’est pas une nouveauté mais mieux vaut tard que jamais et quitte à (re)trouver un gadget sympa, autant le partager.

Après quelques tentatives plus ou moins réussies, je débute, je compte mettre à profit les jours à venir pour progresser dans la maîtrise de l’engin. A vos téléphones, prêts, photographiez !

Hipstamaticapp.com

La vie...

Farmville, le bonheur dans le pré ?

Mardi 8 juin 2010. 12h56. Le Monde.fr (source pour le moins autorisée) publie une nouvelle alarmante, dramatique, terrible. Farmville, le jeu phare de Zynga, le « leader des jeux sociaux » ne rassemble plus « que » 71 millions de joueurs à travers le monde. Il accuse une perte sèche de près de 7,7 millions  de fermiers en l’espace d’un mois. Une hécatombe parmi les addicts de la traite, du ramassage des oeufs, du labour virtuel. Grippe aviaire ? Vache folle ? Rien de tout ça mais une cause bien plus terre à terre (!). Facebook a modifié le système d’alerte et plus aucune notification ne vient vous avertir que le voisin a empiété sur votre pré carré ou que les pommes sont tombées loin de l’arbre. Du coup, les ouvriers agricoles virtuels (pas ceux de TF1 qui chouchoutent gnous et gazelles, les autres) sont moins motivés par l’entretien de leurs champs et autres élevages. Reste à savoir ce qu’il advient de la santé des animaux ainsi négligés faute de notification propre à rappeler que l’heure de la tonte a sonné.

Heureusement, Mark Pincus (PDG de Zynga) et Steve Jobs himself , l’homme au pommier le plus prolifique de l’Histoire de l’Humanité , ont annoncé dès lundi soir « la sortie prochaine d’une application iPhone de Farmville qui inclura des notifications en mode « push ». Miracle, iPapy sauve des troupeaux entiers, des récoltes en péril, que dis-je, des villages en voie de disparition. Plus fort que Noé ou quand la pomme ne sème plus la discorde mais rétablit l’ordre paysan.

Certes facebook représente LE premier réseau social,  constitue une source de profit et un outil marketing surpuissant et, accessoirement, propose bon nombre d’applications récréatives (dont Amis à Vendre, Mafia Wars ou Texas Hold’em Poker) dont je suis consommatrice. Cependant,  les habitants de Farmville ne sont-ils pas bien souvent les premiers à oublier d’arroser la plante verte du salon, à rechigner au moment de sortir Mirza pour un besoin tout naturel (Ô urbains que nous sommes), à ne pas connaître le nom du voisin de palier (alors qu’ils recrutent activement parmi leurs facebook friends histoire de gagner du terrain), à interrompre une conversation pour aller labourer le champ récemment acquis à prix d’or (ne souriez pas, on m’a fait le coup) ? Farmville se dépeuple ? Rassurez vous, avec Apple, aucun pépin sérieux ne devrait être à déplorer mais pourrait-on pour autant ne pas oublier le monde réel ?

Photos Zynga & Apple
Sources le Monde.fr et
www.insidesocialgames.com

Tendances

iDVF

L’été qui commence bientôt (pensée positive donc…) sera peut être l’occasion de (re)découvrir les crations de Diane Von Furstenberg dont entre autres la wrap dress. Céquoidonc ? Madame Diane, en 1974, lance une robe portefeuille en jersey confortable et aux imprimés fleuris. Non, ne grimacez pas en pensant « ça y est, revoilà les tenues mémérisantes de ma grand-mère » qui inspirent autant de glamour qu’une machine à coudre. Pour info, ce modèle (et ses dérivés), a été vendu à plus de 10 millions d’exemplaires et est entré au Metropolitan Museum of Art dans la catégorie Costume Institute ? Rien que ça ! Certes, ne n’est pas ma préférée mais la collection regorge de belles pièces.

Depuis 1997, Diane Von Furstenberg allie vintage et modernité. La collection est fidèle aux codes de la marque avec les jersey de soie, imprimés colorés, robes portefeuille, drapés…
La dernière trouvaille signée DVF n’est pas un vêtement. Il ne s’agit pas non plus d’un accessoire ou d’un parfum. Mes tribulations sur l’Appstore m’ont amenée à découvrir l’application DVF.


Trouver le point de vente le plus proche grâce au GPS et store locator, admirer les collections, twitter ses premières impressions : tout est possible avec Diane. Une application efficace et conviviale. Quel plus joli gadget siglé, et gratuit, à offrir à nos iPhones de fashionistas ?

Tendances

Why Mac ?


Depuis des lustres (au moins) le débat fait rage entre les Apple addicts et les inconditionnels PC.
A chaque paroisse ses prêcheurs. Pour les afficionados de la pomme et de Steve Jobs : un design toujours originalissime, une inventivité non démentie (iPod, iPhone ou encore iPad vendu à plus de 300 000 exemplaires en quelques heures le jour de sa sortie…), un système (snow leopard) moins sensible aux virus de tous poils… Dans le camp de Bill Gates, on invoque une proposition beaucoup plus vaste de logiciels en tous genres, exploités par une majorité d’utilisateurs.
Mon bien-aimé cousin, qui revendique une « allergie informatique» incurable (« pas fort pour un docteur » comme disent les minis-moi…) m’a apporté l’élément ultime pour faire pencher la balance vers la maison de Cupertino : « Pour éteindre un PC, je dois cliquer sur Démarrer, pour éteindre un Mac, je clique sur éteindre, autant aller au plus simple « .
Devant une logique aussi implacable, je m’incline définitivement … Image tirée de Wargames, réalisé par John Bradham, sorti en 1983
Tendances

Tchatche’ app

J’ai déjà évoqué mon addiction persistante à mon téléphone, sans qui je me sens telle la Belle sans la Bête, Juliette sans Roméo ou encore Satanas sans Diabolo. Je ne m’aventure que rarement sur le terrain des applications diverses et variées bien que certaines d’entre elles s’avèrent génialissimes. Au top, je plaçais jusqu’ici l’über utilisée Shazam qui permet de reconnaître n’importe quel morceau de musique (ou presque, j’ai réussi à le scotcher une fois) dans n’importe quel environnement. 

C’était avant de découvrir WhatsApp messenger. THE application. THE petit plus qui fait toute la différence. Kézako ? Entre tchat (il ressemble à s’y méprendre à celui de Facebook) et SMS perpétuel, ce petit outil (moyennant la somme modique de 0,79€ que les plus veinards n’ont pas payés puisqu’elle était gratuite jusqu’il y a peu) permet de converser librement, sans limite, gratuitement d’iPhone à iPhone et ce même à l’international. Adieu factures élyséennes, adieu crise d’apoplexie devant les douloureux rappels à l’ordre des opérateurs Morange, Essephar et Byrouges, oui au blabla perpétuel ! Son utilisation peut être croisée avec celle de Facebook , évidemment…

Simple à utiliser (j’ai mis moins de 5mn, un record !), pas besoin de code, de login ou de password et surtout super rigolo, WhatsApp fait partie de ces options que l’on aimerait voir installées de série. A télécharger d’urgence pour ne pas perdre le contact pendant les fêtes…