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Apfel Store

« Ils sont venus, ils étaient tous là » comme dirait Charles Aznavour. Samedi 15 septembre a été inauguré l’Apple Store de Strasbourg. Ne délirons pas, il ne s’agit QUE d’une boutique Apple (traduction « un magasin informatique qui vend des zordis, plein d’accessoires et logiciels » à moyennant la vente d’un oeil sur eBay) et pas d’un temple dédié à Râ ou autre divinité. Force est de constater que l’inauguration en question a généré une queue de pèlerins clients impressionnante (paraît que les plus motivés ont campé sur la place histoire de récupérer le t shirt collector réservé aux premiers clients !!!) venus découvrir l’univers de Cupertino made in Elsass. Samedi, j’ai reculé devant l’envie d’aller faire joujou avec les Macbook pro et/ou air, iPod, iPad (le même en plus grand) et autres téléphones (point d’iPhone 5, wait & see comme tout le monde).

Ce matin, personne (ou presque). Des vendeurs (sympas et souriants), des managers furieusement concentrés sur leurs iPad (sont ce les chiffres des premiers jours qui vous préoccupent à ce point ?), des genius (comprendre : « le super conseiller qui dépatouille les plantades » ? Ben je croyais que Mac ça plante pas . Ok, je sors…). Avouons que le store est beau, grand, aéré, avec plein de tablettes tout partout. J’ai (évidemment) craqué sur les nouveaux écouteurs et sur une nouvelle housse un peu orange…

La déesse Marketing a bien travaillé mais la sale gosse que je suis est contente avec ses iBabioles 😉

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Apple, un SAV de luxe

Au pays de l’informatique s’opposent deux familles, tels les Montaigu et les Capulet : à ma gauche, Bill Gates et Windows, à ma droite, feu Steve Jobs et Apple (la fameuse coopérative fruitière chère à Forrest Gump). Les deux paroisses ont leur adeptes. Certains préfèrent Windows pour sa large diffusion, sa compatibilité et son prix abordable. D’autres sont Apple addicts, adeptes du design, de la déconcertante facilité d’utilisation, des idées visionnaires de la marque, prêts pour cela à sacrifier un organe pour acquérir l’objet du délire. car oui, c’est là que le bât blesse : en terme de tarif, n’est pas amateur de pomme qui veut.

Mais j’ai récemment eu une excellente surprise made in Apple. Il y a bien des années, j’avais reçu du Père Noël un iPod première génération.  Pensez, l’écran était monochrome, il n’existait qu’en noir ou en blanc et il ne contenait QUE de la musique… Ceci dit, c’était l’ancêtre des iPod et iPhone sans lesquels nous ne serions (presque) rien aujourd’hui. L’achat n’est pas récent et le baladeur (si si, le mot existe) avait plus ou moins rendu l’âme, ce qui lui avait valu une préretraite honorable.

Il y a quelques jours, un mail iTunes me demandait de confirmer le numéro d’enregistrement dudit iPod, au motif qu’un défaut avait été constaté sur une série et que, selon, il pourrait être question d’un échange. « Mazette, v’là qu’ils recyclent ! » me suis je dit, ne croyant évidemment pas une seconde que mon vestige était concerné. Surprise donc avec l’arrivé du kit de retour, avec frais de port prépayés par UPS siouplait. Une lettre l’accompagnait, excusant la maison pour les désagréments occasionnés, me priant de renvoyer l’iPod et surtout d’attendre tranquillement l’arrivée du produit de remplacement. Onéreux Apple, certes. Mais avouons qu’en terme de SAV, ce on n’a rarement vu mieux.

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An Apple a day…

« Non, non, céder à la tentation je n’oserai pas. Résister je pourrai. De force de caractère et de raison je saurai faire preuve. ». Voilà, en vrac et sans préférence, les mantras que je me suis répétés depuis le 14 octobre (enfin, même depuis quelques jours avant pour être honnête…). Malgré ce passage en boucle, j’ai craqué et oui, telle l’addict en manque, me suis précipitée chez l’opérateur au nom d’agrume pour acquérir, enfin, le sacro saint Graal, le new über so tendance iPhone 4S. Faible que je suis. Je n’ai aucune excuse, le précédent présentant bien des signes évidents de faiblesse (il faut dire que je ne l’économise pas le pôôôvre) mais le pronostic vital n’était peut être pas engagé et ne se comptait pas en jours. Bon, disons que si, ce qui me dédouane (à peine) de l’achat en question. Pfff…

Reconnaissons cependant qu’il a fallu négocier les fameux points (jamais assez nombreux évidemment), menacer de partir chez Essephar ou Byrouges (la concurrence), pleurer pour le modèle introuvable (because les non-résistants avaient évidemment pré commandé et vidé les stocks dans les premiers jours). L’objet se mérite.

Retour à la maison après avoir fait la fiérote genre « meuh si que je sais faire toute seule comme une grande pour enregistre/synchroniser/programmer ». La sympathique et bienveillante préposée m’avait bien parlé de l’iOS5 et de son nuage. N’ayant pas encore creusé le dossier je me suis demandé s’il s’agissait d’un retour de l’Eyjafjöll mais me suis gardée d’avouer mon ignorance. C’est ainsi qu’il a fallu déballer (le tout petit paquet puisque comme d’habitude, il n’y a PAS de véritable mode d’emploi, « yes you can« ), sauvegarder l’ancêtre (sur iCloud, THE fameux nuage), débrancher, rebrancher, enregistrer, valider, restaurer, redémarrer et espérer ne rien avoir loupé !

Il faut croire que la technologie de feu Steve Jobs est vraiment d’une simplicité biblique puisque, contrer toute attente et sans aide aucune, CA MARCHE ! (J’en entends qui ricanent, mais jusqu’ici je devais faire appel au super pro et que, cette fois, j’ai appliqué la leçon qui m’avait été si souvent répétée : « fais les choses dans l’ordre ». Les bons préceptes sont à pratiquer sans modération.).

Au final, un appareil photo impressionnant, une rapidité surprenante (pensez, le 3GS était quelque peu surchargé et les mises à jour successives ne lui avaient pas toujours fait du bien). Je n’ai pas encore tout exploré, mais il y a de quoi faire. Achat compulsif ? Sans doute. Pas grave. L’essentiel est ailleurs. Il ne reste qu’à tester iMessages, Siri… De quoi occuper le week end !