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iPad

Tendances

Apfel Store

« Ils sont venus, ils étaient tous là » comme dirait Charles Aznavour. Samedi 15 septembre a été inauguré l’Apple Store de Strasbourg. Ne délirons pas, il ne s’agit QUE d’une boutique Apple (traduction « un magasin informatique qui vend des zordis, plein d’accessoires et logiciels » à moyennant la vente d’un oeil sur eBay) et pas d’un temple dédié à Râ ou autre divinité. Force est de constater que l’inauguration en question a généré une queue de pèlerins clients impressionnante (paraît que les plus motivés ont campé sur la place histoire de récupérer le t shirt collector réservé aux premiers clients !!!) venus découvrir l’univers de Cupertino made in Elsass. Samedi, j’ai reculé devant l’envie d’aller faire joujou avec les Macbook pro et/ou air, iPod, iPad (le même en plus grand) et autres téléphones (point d’iPhone 5, wait & see comme tout le monde).

Ce matin, personne (ou presque). Des vendeurs (sympas et souriants), des managers furieusement concentrés sur leurs iPad (sont ce les chiffres des premiers jours qui vous préoccupent à ce point ?), des genius (comprendre : « le super conseiller qui dépatouille les plantades » ? Ben je croyais que Mac ça plante pas . Ok, je sors…). Avouons que le store est beau, grand, aéré, avec plein de tablettes tout partout. J’ai (évidemment) craqué sur les nouveaux écouteurs et sur une nouvelle housse un peu orange…

La déesse Marketing a bien travaillé mais la sale gosse que je suis est contente avec ses iBabioles 😉

Ailleurs

Genève 2012, l’autre Fashion Week

Après la Fashion week, il reste un salon pour découvrir de nouveaux modèles, cette fois de bolides en tous genres. La collection Spring Summer 2012 est riche et la manifestation genevoise annonce quelques 100 premières mondiales. Point de red carpets mais des stands soigneusement mis en scène, aucun mannequin mais de nombreuses hôtesses armées d’un iPad pour accompagner le visiteur dans son choix. Les stars sont luxueuses ou minimalistes, hybrides ou carburantophages, populaires ou élitistes…

 Il a fallu écraser quelques pieds (d’où l’efficacité toujours redoutable d’un escarpin qui, bien qu’étant audacieux en mode « piétinage salon », demeure l’arme absolue contre les Converse taille 45 qui hantent le lieu), jouer des coudes et se faufiler au premier rang pour le défilé (pardon, la présentation). Mais, encore une fois, les jolies voitures sont un plaisir qui se conjugue également au féminin. Pour ma part, et après avoir soigneusement étudié les candidates, je reste sur ma pôle position : Choupette version 2012 reste ma préférence à moi.
82ème Salon International de l’Auto et de l’Accessoire
Genève 8-18 mars 2012 

La vie...

My 100 Things Challenge, ou pas…

Ca y est, les vacances sont finies et l’été indien ne semblant pas s’annoncer, il est déjà temps de ranger crèmes solaires, tongs, paréos, maillots de bain et autres attributs estivaux. A la vue des quelques mètres cubes de fourbi qu’il s’agit de remiser pour l’hiver, je m’interroge quant au projet de David Bruno, un tranquille père de famille californien. Depuis novembre 2008, il a entrepris (ainsi que de nombreux «100 things challengers») de sélectionner 100 objets rigoureusement indispensables et de se débarrasser du superflu. Que tout le monde se rassure, il n’est pas encore question d’une ascèse radicale et encore moins de vivre dans un tonneau comme l’ami Diogène en son temps. Les règles sont précises : on ne compte pas les objets qui appartiennent à toute la famille et qui sont utiles à la collectivité, seuls sont concernés les objets strictement personnels. L’effet de crise renforce évidemment le caractère intéressant de l’entreprise.

Je me demande depuis quelques jours quelle serait ma liste des 100 incontournables. Histoire de trouver l’inspiration, et surtout de ne pas éliminer un objet que je viendrais à regretter vite fait, je suis attentivement les listes rédigées par certains participants. iPhone, iPad et autres MacBook arrivent bien souvent en tête. Comme quoi on a beau tenter le dénuement, on ne revient pas au Moyen Age pour autant…

Je suis donc partagée entre renoncer à mes 47 paires de chaussures (quoiqu’elles ne compteraient que pour une unité chacune) et transformer le dressing en poulailler d’intérieur et produire mes propres oeufs intra muros, vendre la grenouille qui me sert de voiture et la remplacer par un vélo ce qui aura le double bénéfice de préserver la planète + favoriser ma pratique (jusqu’ici inexistante ou presque) du sport, tenir une comptabilité stricte des 100 objets que je souhaite par dessus conserver et avoir la sensation de m’inscrire dans un projet « responsable ».

Pourquoi ne pas se lancer mais sans oublier que Voltaire, dans le Mondain, rappelait que « Le superflu (est) une chose très nécessaire« . Un « petit superflu » est ainsi toléré pour le bien de tous !

Tendances

iPad, livre magique ?

Seuls les imbéciles ne changent pas d’avis. Il y a quelques semaines (jours, pour être tout à fait honnête) je m’entends encore rouspéter contre ce « nouveau gadget hors de prix et parfaitement inutile », l’iPad. Je la fais courte car j’ai trouvé toutes sortes d’arguments « contre » le nouveau jouet d’iPapy. Mais voilà, les Apple addicts savent trouver les âmes égarées et c’est lors d’un déjeuner, aussi appelé traquenard, que j’ai été convertie. Hasard d’une conversation (quoiqu’avec le recul je me demande si le complot n’était pas ourdi depuis longtemps, faudra que je creuse…) « tiens miss, t’as vu le petit dernier ? », dépôt du Graal de l’obscur objet-du-désir-refoulé sur la table et attraction irrésistible de mes yeux puis de mes mains vers la précieuse tablette tactile. Damned, j’étais faite.

Effectivement, les applications sont aussi diverses que variées (évidemment) et des journaux et magazines tels le Monde ou Paris Match n’ont jamais été si faciles et complets à consulter. Mais la révélation ultime a été la découverte du Petit Larousse pâtissier version iPad (7,99€, le prix du bonheur). Des recettes, des visuels plus qu’alléchants, des vidéos d’aide à la réalisation, la possibilité de poster des « trucs » à destination des autres utilisateurs : tout ce qu’il faut pour devenir candidat(e)s au macaron Bibendum. Mais surtout, last but not least, THE idée géniale qui fait que le rêve devient réalité. Qui n’a pas enduit une précieuse recette de substance grassouillette au moment de tourner la page ? Qui n’a pas craint de lâcher la cuiller au moment de vérifier le temps de cuisson ou d’attraper le plat qui évidemment n’a jamais la bonne taille ? Plus besoin de s’inquiéter de ces mésaventures bassement logistiques. Avec le Petit Larousse pâtissier sur iPad, il suffit de souffler délicatement sur l’écran pour que la page se tourne, comme par magie ! Nulle question de sorcellerie, bien que l’on puisse se demander si Apple n’a pas déménagé à Poudlard ou si Steve Jobs ne serait pas un avatar de Dumbeldore. Quoique je ne suis sûre de rien vu l’efficacité du philtre d’amour qui agit désormais entre iPad et moi…

Site officiel Larousse cuisine
Photo support Joule pour iPad

Tendances

Why Mac ?


Depuis des lustres (au moins) le débat fait rage entre les Apple addicts et les inconditionnels PC.
A chaque paroisse ses prêcheurs. Pour les afficionados de la pomme et de Steve Jobs : un design toujours originalissime, une inventivité non démentie (iPod, iPhone ou encore iPad vendu à plus de 300 000 exemplaires en quelques heures le jour de sa sortie…), un système (snow leopard) moins sensible aux virus de tous poils… Dans le camp de Bill Gates, on invoque une proposition beaucoup plus vaste de logiciels en tous genres, exploités par une majorité d’utilisateurs.
Mon bien-aimé cousin, qui revendique une « allergie informatique» incurable (« pas fort pour un docteur » comme disent les minis-moi…) m’a apporté l’élément ultime pour faire pencher la balance vers la maison de Cupertino : « Pour éteindre un PC, je dois cliquer sur Démarrer, pour éteindre un Mac, je clique sur éteindre, autant aller au plus simple « .
Devant une logique aussi implacable, je m’incline définitivement … Image tirée de Wargames, réalisé par John Bradham, sorti en 1983