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Hipstamatic pour les vacances

Ca y est (presque). L’heure est (quasi) arrivée de finaliser le paquetage direction mer, plage, méduses (euh non si possible…). Comme toujours il y aura beaucoup trop de bagages : les minis moi étant redoutables quant au volume de fourbi à faible utilité ajoutée qu’il convient de transporter en vacances. Ne demandez pas de qui elles tiennent, j’assume. Quelques vêtements et paires de chaussures, quelques livres, quelques crémouilles anti-âge/coups de soleil/dessèchement : bref le minimum vital en quelques mètres cubes. Il y a peu je baladais mon appareil photo, un compact numérique aussi efficace que facile à emporter partout avec soi. Une chute malencontreuse ayant eu raison de son écran à cristaux liquides, il a fallu renoncer à notre divine idylle comme dirait Vanessa.

Cherchant une solution de remplacement, je suis tombée récemment sur l’application Hipstamatic. Vendue pour la somme élyséenne de 1,59€ sur l’Appstore, celle ci permet la réalisation de clichés aux rendus aussi divers que variés. Mon iPhone ne s’éloignant jamais bien loin de moi (à moins que ce ne soit le contraire), un téléchargement plus loin, l’affaire était conclue, si ce n’est dans le sac. Quelques esprits chagrins me feront à juste titre remarquer que cette petite merveille n’est pas une nouveauté mais mieux vaut tard que jamais et quitte à (re)trouver un gadget sympa, autant le partager.

Après quelques tentatives plus ou moins réussies, je débute, je compte mettre à profit les jours à venir pour progresser dans la maîtrise de l’engin. A vos téléphones, prêts, photographiez !

Hipstamaticapp.com

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iPad, livre magique ?

Seuls les imbéciles ne changent pas d’avis. Il y a quelques semaines (jours, pour être tout à fait honnête) je m’entends encore rouspéter contre ce « nouveau gadget hors de prix et parfaitement inutile », l’iPad. Je la fais courte car j’ai trouvé toutes sortes d’arguments « contre » le nouveau jouet d’iPapy. Mais voilà, les Apple addicts savent trouver les âmes égarées et c’est lors d’un déjeuner, aussi appelé traquenard, que j’ai été convertie. Hasard d’une conversation (quoiqu’avec le recul je me demande si le complot n’était pas ourdi depuis longtemps, faudra que je creuse…) « tiens miss, t’as vu le petit dernier ? », dépôt du Graal de l’obscur objet-du-désir-refoulé sur la table et attraction irrésistible de mes yeux puis de mes mains vers la précieuse tablette tactile. Damned, j’étais faite.

Effectivement, les applications sont aussi diverses que variées (évidemment) et des journaux et magazines tels le Monde ou Paris Match n’ont jamais été si faciles et complets à consulter. Mais la révélation ultime a été la découverte du Petit Larousse pâtissier version iPad (7,99€, le prix du bonheur). Des recettes, des visuels plus qu’alléchants, des vidéos d’aide à la réalisation, la possibilité de poster des « trucs » à destination des autres utilisateurs : tout ce qu’il faut pour devenir candidat(e)s au macaron Bibendum. Mais surtout, last but not least, THE idée géniale qui fait que le rêve devient réalité. Qui n’a pas enduit une précieuse recette de substance grassouillette au moment de tourner la page ? Qui n’a pas craint de lâcher la cuiller au moment de vérifier le temps de cuisson ou d’attraper le plat qui évidemment n’a jamais la bonne taille ? Plus besoin de s’inquiéter de ces mésaventures bassement logistiques. Avec le Petit Larousse pâtissier sur iPad, il suffit de souffler délicatement sur l’écran pour que la page se tourne, comme par magie ! Nulle question de sorcellerie, bien que l’on puisse se demander si Apple n’a pas déménagé à Poudlard ou si Steve Jobs ne serait pas un avatar de Dumbeldore. Quoique je ne suis sûre de rien vu l’efficacité du philtre d’amour qui agit désormais entre iPad et moi…

Site officiel Larousse cuisine
Photo support Joule pour iPad

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iDVF

L’été qui commence bientôt (pensée positive donc…) sera peut être l’occasion de (re)découvrir les crations de Diane Von Furstenberg dont entre autres la wrap dress. Céquoidonc ? Madame Diane, en 1974, lance une robe portefeuille en jersey confortable et aux imprimés fleuris. Non, ne grimacez pas en pensant « ça y est, revoilà les tenues mémérisantes de ma grand-mère » qui inspirent autant de glamour qu’une machine à coudre. Pour info, ce modèle (et ses dérivés), a été vendu à plus de 10 millions d’exemplaires et est entré au Metropolitan Museum of Art dans la catégorie Costume Institute ? Rien que ça ! Certes, ne n’est pas ma préférée mais la collection regorge de belles pièces.

Depuis 1997, Diane Von Furstenberg allie vintage et modernité. La collection est fidèle aux codes de la marque avec les jersey de soie, imprimés colorés, robes portefeuille, drapés…
La dernière trouvaille signée DVF n’est pas un vêtement. Il ne s’agit pas non plus d’un accessoire ou d’un parfum. Mes tribulations sur l’Appstore m’ont amenée à découvrir l’application DVF.


Trouver le point de vente le plus proche grâce au GPS et store locator, admirer les collections, twitter ses premières impressions : tout est possible avec Diane. Une application efficace et conviviale. Quel plus joli gadget siglé, et gratuit, à offrir à nos iPhones de fashionistas ?

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Why Mac ?


Depuis des lustres (au moins) le débat fait rage entre les Apple addicts et les inconditionnels PC.
A chaque paroisse ses prêcheurs. Pour les afficionados de la pomme et de Steve Jobs : un design toujours originalissime, une inventivité non démentie (iPod, iPhone ou encore iPad vendu à plus de 300 000 exemplaires en quelques heures le jour de sa sortie…), un système (snow leopard) moins sensible aux virus de tous poils… Dans le camp de Bill Gates, on invoque une proposition beaucoup plus vaste de logiciels en tous genres, exploités par une majorité d’utilisateurs.
Mon bien-aimé cousin, qui revendique une « allergie informatique» incurable (« pas fort pour un docteur » comme disent les minis-moi…) m’a apporté l’élément ultime pour faire pencher la balance vers la maison de Cupertino : « Pour éteindre un PC, je dois cliquer sur Démarrer, pour éteindre un Mac, je clique sur éteindre, autant aller au plus simple « .
Devant une logique aussi implacable, je m’incline définitivement … Image tirée de Wargames, réalisé par John Bradham, sorti en 1983
La vie...

Les dangers du design

Le design a ses limites. Non, ne souriez pas devant cette énormité qui n’en est pas une. J’ai de quoi justifier ce propos. En gros, ce qui est pratique et fonctionnel a également le droit d’être beau (définition toute personnelle mais pourquoi pas).
Ainsi de nombreux objets font l’objet d’innombrables croquis, esquisses, mesures, tests, tentatives et essais en tous genres. Prenons un exemple : la WII. Cette console de jeu familiale qui fait, outre celle de Nintendo, la fortune des vitriers et le désespoir des assureurs devant les accidents de lancer de télécommande. En effet, bien qu’il soit spécifié en 45 langues, au moins, qu’il faut les attacher au poignet, ces prothèses ont la fâcheuse habitude de s’enfuir sous l’effet de la force centrifuge et de briser, au mieux une baie vitrée, au pire un appendice nasal. Sans entrer dans des jeux compliqués, une partie de bowling bien menée peut tenir ses promesses de ce côté-là.

Nombre d’accessoires au look aussi épuré que le presse agrume de Philippe Starck complètent le joujou. Volant, sabre laser ou encore le must, la WII fit. THE plateau qui étire, détend, muscle, allège, corrige l’IMC mais ne fait pas le café… Attendons une campagne George C fait sa gym en buvant son ristretto, pour le coup ce serait un fameux coup marketing. Mais je m‘égare. La fameuse plate forme (en gros un gros plateau blanc) se pose devant la TV (celle avec laquelle on joue au tennis) histoire de pratiquer une activité de type stepper entre autres (pour ceux qui vivent dans des contrées reculées non desservies par les pubs en tous genres, heureux qu’ils sont…).

J’ai, entre autres mauvaises habitudes, celle de poser mon ordinateur portable à même le sol. Les mini-moi ayant depuis longtemps compris qu’un quelconque attentat serait puni de vidange de lave-vaisselle à perpétuité sans remise de peine, aucun accident n’est à déplorer. Ledit ordinateur est une pure merveille de technologie et me sert évidemment d’outil de travail. Tout sauf un jouet donc. L’affaire se corse avec l’arrivée de gamins plus petits, non rompus à la crainte de votre Lady. Car oui, vous voyez arriver le souci. Que dire à un minot d’à peine 4 ans qui, regardant avec envie le dispositif WII + accessoires, s’empresse de grimper méthodiquement sur le petit plateau de sport posé devant l’écran et d’imiter Jane Fonda dans ses grandes heures…. Aargh, une seconde et le malheur est arrivé. L’ordi a été WII fitisé ! Si seulement il avait été gros, laid, couleur caca d’oie, rien de tout cela ne serait arrivé. Trop de design tue l’espérance de vie du matériel.

Alors oui, je ne le ferai plus, promis. Je rangerai le prochain bazar à hauteur de Hagrid, le super copain de Harry Potter de sorte que même moi je n’oserai plus m’en servir. Mais s’il vous plaît, mesdames et messieurs de la maison au logo à la pomme, cessez de produire de si jolies petites merveilles et revenons-en (enfin !) au style soviétique pré-glasnost, histoire d’éviter les confusions…

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Tchatche’ app

J’ai déjà évoqué mon addiction persistante à mon téléphone, sans qui je me sens telle la Belle sans la Bête, Juliette sans Roméo ou encore Satanas sans Diabolo. Je ne m’aventure que rarement sur le terrain des applications diverses et variées bien que certaines d’entre elles s’avèrent génialissimes. Au top, je plaçais jusqu’ici l’über utilisée Shazam qui permet de reconnaître n’importe quel morceau de musique (ou presque, j’ai réussi à le scotcher une fois) dans n’importe quel environnement. 

C’était avant de découvrir WhatsApp messenger. THE application. THE petit plus qui fait toute la différence. Kézako ? Entre tchat (il ressemble à s’y méprendre à celui de Facebook) et SMS perpétuel, ce petit outil (moyennant la somme modique de 0,79€ que les plus veinards n’ont pas payés puisqu’elle était gratuite jusqu’il y a peu) permet de converser librement, sans limite, gratuitement d’iPhone à iPhone et ce même à l’international. Adieu factures élyséennes, adieu crise d’apoplexie devant les douloureux rappels à l’ordre des opérateurs Morange, Essephar et Byrouges, oui au blabla perpétuel ! Son utilisation peut être croisée avec celle de Facebook , évidemment…

Simple à utiliser (j’ai mis moins de 5mn, un record !), pas besoin de code, de login ou de password et surtout super rigolo, WhatsApp fait partie de ces options que l’on aimerait voir installées de série. A télécharger d’urgence pour ne pas perdre le contact pendant les fêtes…

 

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Apple for ever…

Ca y est ! Il est là !

De qui parlons-nous ? Mais évidemment du dernier né de chez Steve Jobs, l’iPhone3G S.
Comme toujours chez la maison à la pomme, un marketing survitaminé a précédé le lancement de l’opération.
Abonnée chez l’opérateur historique depuis la nuit des temps (pensez, à l’époque c’était le OLA, qui ressemblait à s’y méprendre au modèle Fisher-Price, mais pour grands…) et aujourd’hui munie de la version 3G, j’ai reçu environ 18 SMS et 12 emails me ventant l’arrivée imminente de la merveille.
Le modèle actuel ne me quitte pas depuis plusieurs mois déjà. Entre l’agenda, la météo (quoique en ce moment mieux vaut ne pas trop regarder), l’accès à mes emails (qui me vaut d’aller de moins en moins les relever sur mon PC ce qui sature la boite, je l’avoue) et surtout les applications génialissimes du type Shazam ou Facebook, il est devenu « celui qui ne me quitte jamais ».
Vive l’internet illimité et la hotline avec Orange Mécanique !Je me demande d’ailleurs si je ne développe pas une véritable addiction au joujou devant la panique qui s’est emparée de moi la semaine dernière quand je l’ai oublié chez moi en partant au boulot. Mon téléphone me manque et tout est dépeuplé…
La nouvelle version propose toutes sortes de nouveaux gadgets : vidéo, appareil photo 3MP à autofocus intégré, boussole numérique (on est loin celle de Jack Sparrow), intégration d’images et de vidéos dans les messages (il était temps !), dictaphone et autres. La fonction Nike + iPod est enfin accessible sur iPhone. Du coup, plus besoin de prendre mon nano, je vais pouvoir jumeler mon téléphone à mes chaussures supersoniques, waou…

Question design, peu de changement, mais il faut dire qu’il est déjà magnifique.
Comme d’habitude, Apple frappe fort !