Ce mercredi 21 octobre 2015 avait pourtant commencé comme une journée ordinaire. Jusqu’à ce qu’une DeLorean volante surgisse sous la pluie de Hill Valley. Pilotée par Doc Emmett Brown (irrésistible et complètement barré Christopher Lloyd), elle transporte Marty McFly (Michael J.Fox, entre temps devenu avocat véreux qui asticote Lockhart & Gardner dans The Good Wife) et son amoureuse Jennifer Parker (Elisabeth Shue qui, après le jeune homme à l’Hoverboard préférera un temps Le Saint Val Kilmer, bien déjanté aussi). Bref, un petit bond dans le temps de 30 ans, puisque les jeunes gens étaient partis le 26 octobre 1985 histoire d’éviter à Marty McFly Junior de se lancer dans une carrière de repris de justice (faites des gosses je vous dis…).

Le film est sorti en 1989 et on rêvait alors de skate board volant, de voyages dans le temps, de coloniser Mars (pour ce point, seul Matt Damon arrive à y faire pousser des salades à ce jour)… Tout cela n’est certes pas possible mais tout de même : le monde est désormais connecté et on peut gérer sa maison depuis son iPhone ou encore savoir si le petit dernier est arrivé en retard à l’école à réception d’un SMS avertisseur de la part de l’établissement, la réalité est devenue virtuelle (magnifique oxymore pour les fans de figures de style), les missions spatiales se multiplient et très bientôt les robots à l’intelligence artificielle surdéveloppée se rendront sur Mars (cueillir les salades de Matt). McFly s’imaginait il se prendre en photo dans le jardin de Versailles à l’aide d’un solfie-stick ou causer avec Jennifer par FaceTime ? Certainement pas. Le futur n’a pas encore livré ses surprises 😉
NB Enfer et téléportation, je m’ai gourée… Les fans de Matt l’homme de l’espace me pardonneront (je l’espère !) une erreur grossière. Matt l’agriculteur ne fait pas pousser de salades mais des POMMES DE TERRE. Toutes mes confuses à JJ et à mon chéri pour cette déplorable approximation 😉



Il était une fois un dimanche d’octobre en Belgique. Qui dit Belgique ne pense pas nécessairement Atomium à Bruxelles, canaux romantiques à Bruges ou diamants à Anvers. Certaines régions 








Mais mon préféré, mon chouchou à moi, c’est Donald Mallard, le médecin légiste so british au noeud papillon murderproof (si j’ose dire). L’épisode d’hier lui a permis de retrouver son amoureuse de toujours (qui avait eu la mauvaise idée d’épouser son meilleur ami mais qui a la bonne idée d’être désormais veuve : le coup de bol), so cute. Donald Mallard c’est David McCallum, que je regardais dans mes jeunes années (oui, la télé existait déjà, et en couleurs siouplait) avec mon papa dans L’homme invisible (aussi dans Des agents très spéciaux mais c’était moins ma tasse de verveine). A l’époque, celle de Super Jamie ou de Steve Austin, les effets spéciaux n’avaient rien à voir avec la débauche de technologie aujourd’hui disponible. Comme diraient les minis : « ouh la, il est pas full HD ton truc ». Pas HD certes, mais je rêvais au jour où on pourrait effectivement devenir invisible, retourner les dés pour gagner au craps. La série, diffusée en 1975, comptait 12 épisodes seulement, était librement inspirée du roman du même nom de H.G Wells, paru en 1897. Le pitch : le docteur Daniel Westin invente un appareil pour devenir invisible. Evidemment ça se passe mal et le malheureux devient définitivement invisible, la tuile.



Damned ! Enfer et téléportation ! Ca recommence et j’ai failli rater ça !

C’est aujourd’hui le 165ème anniversaire de Bram Stoker, le papa de Dracula, ainsi que nous le rappelle gentiment Google. Non que je sois férue de films d’horreur ou encore de fantastique mais le Dracula de Francis Ford Coppola, sorti en 1992, a sa place dans mon Panthéon cinématographique.