Après des lustres, pardon, semaines, passées dans le blizzard et la tempête (qui a dit que j’exagère ?) une escapade méditerranéenne s’impose. Direction Monaco, ses casinos, ses boutiques, ses bateaux, son prince…
Nous voici arrivés en principauté à jouer les touristes, appareil photo à l’épaule (pas autour du cou malheureux, vu le poids de l’engin, on risque l’entorse cervicale) et, miracle, lunettes de soleil sur le nez. Tout pour un marathon monégasque car c’est bien de cela qu’il s’agit…
Départ sur le port, près de la piscine, certes peu fréquentée en ce mois de mars ce qui paraît logique du fait qu’elle est en plein air. Quelques courageux se lancent peut être parfois, mais là non, bizarrement personne malgré les 14° qui nous paraissent quasi estivaux (l’effet de contraste avec les derniers jours sans doute). Remontée de l’avenue d’Ostende depuis le virage de Sainte Dévote (bien connu des amateurs de F1) jusqu’au pied du Casino. Incursion au Café de Paris et micro shopping dans la Galerie du Métropole puis descente par les jardins du Casino.
Le retour nous a permis d’apprécier les quelques merveilles flottantes qui peuplent le Port Hercule. Ma préférence à quelques vieux gréements de teck et d’acajou auprès desquels les gros yachts luxueux ne font pas le poids, en terme d’élégance nautique en tous cas. Par exemple Tuiga, le vaisseau amiral du Yacht Club de Monaco, un 15m JI à gréement aurique qui vient de fêter ses 100 ans : superbe.
Une journée de promenade printanière (si, si) qui s’est achevée par une halte récupératrice sur la plage de Passable au Cap Ferrat. Un retour aux fondamentaux pour s’assurer du retour des beaux jours.
Photo Tuiga empruntée au Yacht Club de Monaco
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