On peut penser que les fêtes de fin d’année se terminent par le réveillon de la Saint Sylvestre. La logique implacable de la sémantique alliée à celle du calendrier tendrait à confirmer cette notion. Il faut cependant nuancer le propos. Fin des festivités, oui. Mais il reste à régler les dégâts collatéraux… Vous aurez sans doute compris que l’opération s’est déroulée sans encombre ce week end et je peux désormais commencer à réfléchir à la meilleure méthode pour cacher des œufs de Pâques en appartement.
Si les préparatifs prennent des heures, jours voir semaines dans la joie et la bonne humeur (il faut bien ça pour décorer les maisons, habiller les sapins, préparer les cadeaux, gaver les oies et plumer les chapons), il ne faut pas oublier le temps de démontage. La fête est finie, les cousins de province ont retrouvé leurs pénates, l’école a repris, les soldes (aargh !!!) commencent et on essaie de tenir la longue liste des bonnes résolutions.
Question gastronomie, la galette a achevé les effets du régime vainement entrepris en prévision des repas pantagruéliens. Frangipane, pommes, chocolat, pistache-griottes (goûtée cette année, une tuerie…), brioche, autant de raisons de se fâcher définitivement avec le pèse-personne. Mais l’invité spécial des festivités, celui qui cristallise toute l’attention doit désormais laisser sa place. Et c’est là que se pose l’ultime et plus que jamais épineuse question de l’avenir du sapin.






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[…] 2011, le sort de feu le sapin de Noël m'a donné de quoi bien commencer. L'an dernier, j'avais honteusement profité de la nuit pour l'abandonner lâchement au pied […]
[…] le salon depuis quelques semaines. C’est là que les choses se compliquent. Souvenons nous : 2009, jet (interdit) par la fenêtre et abandon nocturne (tout aussi interdit) ; 2010, free fight avec […]